dimanche, juin 24, 2007

PS : AI ou IA ?

En préambule, il faut souligner que, depuis McCarthy (pas le chasseur de communiste mais le pionnier de la programmation) I.A signifie Intelligence Artificielle. A peu près à la même période de l'histoire, la Suisse inventa l'Assurance Invalidité.

Le PS (au choix Post Scriptum, Play Station, Parti Socialiste, Polystyrène) est par contre, une invention qui tend à disparaître depuis quelques années. Principalement dans les terres de Sarkoland (pardon... l'Empire Franc). Comme McCarthy (le chasseur de coco cette fois-ci) n'ayant pas fini le boulot à l'époque, d'autre s'en sont chargés.

Comme tout parti "social" qui se respecte, le PSS va débattre d'un projet sensé assurer le financement de l'AI. Financement qui, actuellement, ressemble plus à la représentation économique des techniques de forages de puits sans fonds. Il est évidemment plus facile de dépenser de l'argent que l'on à pas ; cela serait dommage sinon! Le projet est donc de taxer les actionnaires suisses afin de financer ledit gouffre qu'est l'AI.

Cela serait mentir que de ne pas constater qu'il y à des relents de déjà-vu dans cette proposition...

En 1972, il n'y à QUE 35 ans de cela un économiste du nom de James Tobin, avait déjà proposé une taxation des capitaux à un niveau mondial. Ce dans le but double d'éviter une spéculation trop importante qui déséquilibrerait les marchés et de financer des fonds de développement pour l'ONU et le tiers-monde. Idée très intéressante (il à été Prix Nobel tout de même le garçon!) qui n'a pas été soutenue par le PSS en son temps (ou du bout des lèvres)

Sans vouloir polémiquer ni faire de mauvais esprit, on pourrait tout de même se poser des questions sur le pompage des idées des autres... Un peu comme l'avait fait la seule royaliste avec son programme en 1'000'000 de points (dont 999'999'999 ne venaient pas d'elle).

Mais bref, force est de constater, qu'à défaut d'arriver à trouver des solutions concrètes aux problèmes que pose l'AI dans son fonctionnement actuel, il est nettement plus simple d'augmenter les taxes. (!) L'unique "petit" problème dans le raisonnement est tout de même le côté "social" d'une telle idée.

Pourquoi une institution collective, qui devrait être supportée par l'intégralité des CONcitoyens, serait plus financée par une catégorie socio-fiancière spécifique ?

Dans la même optique, pourquoi ne taxerions nous pas les propriétaires de chiens pour assurer un financement du service de chirurgie des Hôpitaux Universitaires Suisses. Après tout, vu le nombre de personnes qui se casse la gueule sur des défection canines!

Alors, camarades, chantons l'internationale







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